Témoignages
Une réinsertion réussie, découvrez le témoignage d'Alain
En recherche d’emploi depuis trop longtemps, Alain a poussé en juin 2022 la porte de l’hôtel Le Grand Barnum, géré par la Fondation de l’Armée du Salut, à Lyon, qui emploie des salariés en insertion. Grâce à nous, il a depuis retrouvé un emploi.
Découvrez comment Linda a retrouvé un emploi grâce à l'Armée du Salut
Après le décès de son mari, Linda a dû élever seule ses enfants. Au chômage, elle a trouvé un emploi à l’Armée du Salut. Aujourd’hui auxiliaire de vie, elle rêve d’ouvrir un restaurant pour les personnes vivant dans la précarité.
Devenir sans domicile, cela peut arriver à n’importe qui !
Valérie est accueillie à "Entr'elles" notre nouveau centre d’hébergement marseillais pour les femmes en grande difficulté. Elle a longtemps vécu à la rue avant d'être secourue par l'Armée du Salut. Témoignage.
« Relier les participants à un projet (sportif) commun »
Jean-Charles Harbonnier, 33 ans, originaire de Valenciennes, est devenu un sportif de haut niveau, le quatrième meilleur temps sur le triathlon « Enduroman » Londres-Paris , qu’il a mené à bien à l’été 2022.
L'apprentissage d'un métier en France m'a permis de gagner ma vie
Les mineurs arrivés seuls en France sont-ils une chance ou un problème pour notre pays ? Rencontrez ce jeune apprenti accueilli par l’Armée du Salut et faites-vous votre propre avis.
La belle aventure d’Oumar : de jeune exilé à figurant du film « Tirailleurs »
En arrivant seul en France à 17 ans, Oumar, ne pensait pas tourner quatre ans plus tard un film avec le célèbre acteur français, Omar Sy. Un film qui raconte l’histoire d’un père et d’un fils sénégalais envoyés au front pendant la Première Guerre mondiale. Un film particulier pour Oumar, accueilli dans les Ardennes par la Fondation de l’Armée du Salut et dont l’arrière-grand-père a participé pour la France à cette guerre de tranchées. Témoignage.
J’ai tout laissé en Ukraine avant d'être aidée par l’Armée du Salut
Marina, 39 ans, a parcouru avec son fils de 6 ans plus de 3 000 kilomètres entre Kharkiv, seconde ville d’Ukraine, dans le nord-est du pays, jusqu’à Marseille, où elle a été aidée par l’Armée du Salut. Un témoignage qui nous rappelle à quel point ces vies bouleversées étaient comparables avec celles menées en France. Marina y raconte son exil et l’espoir d’un retour en Ukraine.
"Je me sens bien à l'Armée du Salut"
Avant la crise du Covid, Marc, 34 ans, avait un emploi et un logement. Les confinements successifs et la perte de son emploi l’ont obligé à quitter son logement. Ces difficultés ont mis à mal sa santé psychique. Aujourd’hui, Marc est accueilli dans une de nos résidences à Marseille.
Ukraine : "Je n'ai pas pu me marier à cause de la guerre"
Anastasia, 23 ans, a quitté l’Ukraine en avril laissant derrière elle sa famille et son futur époux. Sur le chemin de l’exil, elle a rencontré l’Armée du Salut. Aujourd’hui, au Havre, elle espère reconstruire sa vie détruite par la guerre.
"Avant de connaître l'Armée du Salut, je vivais à la rue"
C’est avec ces mots que Morad commence à se raconter. Aujourd’hui cuisinier en insertion dans un de nos établissements, il a regravi toutes les marches et décroché cet emploi qui lui permettra de vivre à nouveau aux côtés de sa fille handicapée.
L’Armée du Salut, mouvement international, fait partie de l’ensemble des églises chrétiennes. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans discrimination, les détresses humaines. En France, l’Armée du Salut exerce ses actions au travers de la Congrégation et de la Fondation. Elle est membre de la Fédération Protestante de France.
Congrégation et Fondation de l'Armée du Salut
60, rue des Frères Flavien
75976 Paris cedex 20
France
01 43 62 25 00