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Nuit de la Philanthropie : une nuit pour financer 10 projets sociaux innovants
10 projets sociaux, 10 porteurs de projets, 1 nuit de la Philanthropie. La Nuit de la Philanthropie de la Fondation de l’Armée du Salut a pour but de présenter à des donateurs et curieux 10 projets sociaux auxquels nous croyons et que nous vous encourageons à soutenir. Et vous, que faites-vous le lundi 9 décembre 2019 ?
Monsieur le Président : la France a besoin de générosité !
En plein débat sur le projet de loi de finances 2020, 118 associations et fondations appellent le Président de la République à renoncer à la réforme du gouvernement sur le mécénat d’entreprise.
Nuit de la Philanthropie 2019 : le 9 décembre au Théâtre de la Madeleine
9 décembre 2019 ! Cette année la Nuit de la Philanthropie de l’Armée du Salut se tiendra le lundi 9 décembre au Théâtre de la Madeleine (VIIIème arrondissement), à Paris, à partir de 19 heures. En 2018, la première grande soirée de collecte de la Fondation de l’Armée du Salut a été un succès et avait permis de récolter 250 000 euros pour financer des projets sociaux et médico-sociaux innovants et changer la vie de milliers de femmes, d’enfants et d’hommes.
Nuit de la Philanthropie : 250 000 euros récoltés pour 11 projets sociaux innovants
Une première édition réussie ! La première Nuit de la Philanthropie de l’Armée du Salut s’est tenue le 14 décembre 2018 au Palais de la Femme, Paris, devant une assemblée de donateurs et mécènes venus soutenir 11 projets sociaux innovants. Bilan de la Nuit : 250 000 euros ont été récoltés.
Repartir de zéro à plus de 40 ans, le difficile parcours de Lucie
Arrivée du Gabon pour poursuivre ses études supérieures, Lucie* est une alors une étudiante comme les autres. Décès de son beau-père qui finançait ses études, une carte de séjour non-renouvelée ; petit à petit ses rêves se brisent et commence une longue période de difficultés. Aujourd’hui accueillie par l’Armée du Salut, à plus de 40 ans, elle recommence enfin à imaginer un avenir. Témoignage.
« Après avoir eu mon bac et passé deux ans à l’université, au Gabon, pour faire des études de droit et d’économie, j’ai décidé de poursuivre mes études en France.
Je suis arrivée en France en 2000 au mois de novembre. Je me souviens qu’il faisait très froid.